C'est le cas du Dob qui prend un malin plaisir à ploufer parfois au nez et à la barbe des précieux termiques doux et soyeux d'hivers.
Le plouf se cultive et s'entretient tel un art de vivre dès le décollage en s'éloignant du relief, puis en évitant soigneusement la moindre ascendence pour rejoindre le plancher des vaches où la présence de la gente féminine acceuille le vaillant parapentiste.
Merci aux choupettes j'ai nommé ma grande Laeti et la Grande Camille. Et rendez vous après la Q-Bi (un jour qui sait...) pour un envol commun ;)

Bises et encore merci à toi :)